En clair, cette recherche n’est pas une révolution, mais une avancée prometteuse. Elle ne permet pas de diagnostiquer l’autisme à la naissance, mais elle ouvre une piste biologique qui pourrait, avec d’autres découvertes, mener à un meilleur accompagnement dès les premiers mois de vie.
Et surtout, elle remet sur le devant de la scène un sujet crucial : celui de l’importance de l’environnement prénatal dans le développement de l’enfant. Comme une plante qui pousse selon la qualité de son terreau, notre cerveau se façonne dès les toutes premières semaines de vie.
L’autisme, un mystère qui se dévoile peu à peu :
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