Quand la science s’en mêle
Des études menées dans le domaine des soins palliatifs évoquent l’idée que certaines molécules libérées par le corps en fin de vie pourraient effectivement modifier son odeur naturelle. Cependant, ces changements restent très subtils et variables d’une personne à l’autre.
Les spécialistes rappellent que de nombreux facteurs peuvent influencer ce phénomène : les traitements médicaux, l’alimentation, la température ambiante ou encore la simple évolution du métabolisme. Rien ne permet aujourd’hui d’affirmer qu’il existe une odeur typique annonçant la fin de vie.
Ce que la science confirme en revanche, c’est que l’odorat humain, bien que souvent sous-estimé, est capable de détecter des signaux extrêmement précis, parfois même inconsciemment.






